6 Octobre 2013
COMMUNIQUÉ DE PRESSEPOUR DIFFUSION IMMÉDIATE
Le gagnant du Prix Saint-Pacôme 2013 du roman policier a été dévoilé au cours du gala tenu le 5octobre à Saint-Pacôme, sous la présidence d’honneur de Gildor Roy. Le lauréat est l’auteur Martin Michaud pour son roman Je me souviens, publié aux éditions Goélette. Il a remporté la bourse de 3000$ offerte conjointement par la Municipalité de Saint-Pacôme, la MRC du Kamouraska et la SODEC.
Deux autres prix ont été remis : le prix Coup de cœur du club du polar de la bibliothèque Mathilde-Massé est revenu à Geneviève Lefebvre pour La vie comme avec toi, publié chez Libre Expression. 2013 aura été l'année de la création d'un nouveau prix accordé au meilleur premier polar. Ce prix a été créé sur la suggestion du jury qui désirait récompenser un auteur, émergent ou non, ayant publié pour la première fois un roman policier. C'est Jean Charbonneau qui l'a remporté, avec Tout homme rêve d'être un gangster, publié chez Québec Amérique.
Martin Michaud voit son talent reconnu pour la troisième fois par la Société du roman policier de Saint-Pacôme. D'abord lauréat du prix Coup de cœur en 2010 pour son premier polar Il ne faut pas parler dans l'ascenseur, il voyait le second, La chorale du diable, remporter le Prix Saint-Pacôme en 2011. Cette troisième enquête de Victor Lessard a séduit le jury composé de Frances Caissie, lectrice passionnée et figure bien connue du milieu culturel québécois, de Michel Dufour, professeur de philosophie montréalais à la retraite, et enfin de Lise-Audet Lapointe, libraire retraitée de Rimouski.
Les autres finalistes étaient Mario Bolduc avec La nuit des albinos publié chez Libre Expression et André Jacques avec De pierres et de sang chez Druide. Ces deux auteurs sont également biens connus à Saint-Pacôme, chacun ayant déjà été deux fois finalistes, Bolduc en 2005 et en 2007 et Jacques en 2004 et en 2008. Mario Bolduc a aussi remporté le Coup de cœur en 2007 avec Tsiganes.
Les Prix de la rivière Ouelle de la nouvelle policière ont couronné Chloé Barbe, de Montréal, pour sa nouvelle Du danger d'être gourmand.
La table ronde tenue en après-midi a réuni André Jacques, Martin Michaud, Geneviève Lefebvre, Norbert Spehner et René Racine, psychologue, sur le thème du polar sur le divan. La discussion à bâtons rompus a porté sur les mystères des esprits criminels et les névroses des détectives dans la littérature policière.
Ce texte est la copie conforme du communiqué de presse rédigé par Eliane Vincent, membre du conseil d'administration de la société.
D'ici quelques jours, Polar, noir et blanc vous fera un petit reportage photographique.
Bonnes lectures